Embrasse L Islam

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Sectes


Etudier auprès des Maîtres Asha’arites

 

 


Nous sommes des étudiants ; nous étudions auprès d’enseignants qui nous apprennent le dogme de la foi « Acha’arite ». Ils expliquent « la main d’Allâh le Très Haut » par sa puissance ou son bienfait. Le terme « Istawâ » [s’installer] est remplacé par « Istilâ » [occupation] etc. Qu’en est-il d’étudier auprès de ces enseignants ?


Ceux qui expliquent le Qor’ân de cette façon commettent une erreur. Peu importe qu’on les appelle « Acha’arite » ou leur donne un autre nom. Il n’y a pas de doute sur le fait qu’ils ont dévié de la voie des ancêtres pieux. Ceux-ci n’avaient pas prononcé une seule lettre allant dans le sens de cette interprétation. Qu’ils nous apportent une seule lettre provenant du Messager d’Allâh (sallallahu ’alayhi wa sallam), de Abû Bakr, de ’Oumar, de ’Outhmân ou de ’Alî indiquant qu’ils avaient expliqué « main » « visage » par récompense ou qu’ils avaient interprété « amour » par octroi ou privation de récompense. Qu’ils nous apportent une seule lettre provenant de ceux-là et indiquant qu’ils avaient interprété ces versets comme ils l’ont fait. S’ils ne peuvent pas nous l’apporter on doit leur dire ceci : ou bien les anciens pieux, avec à leur tête le Messager d’Allâh (sallallahu ’alayhi wa sallam), l’imâm des pieux, connaissaient la signification de cette importante foi ou bien ils l’ignoraient et dissimulaient la réalité.


Or l’un et l’autre cas ne peut pas être attribué au Messager d’Allâh (sallallahu ’alayhi wa sallam) ni à l’un de ses califes bien guidés ni à l’un de ses Compagnons bien agréés. Si cela n’est pas possible à leur égard, il serait alors obligatoire de suivre leurs voies. Le conseil que je donne à ces gens là est qu’ils doivent Craindre Allâh - ’Azza wa Djal - et laisser de côté l’opinion d’untel et untel et de retourner au livre d’Allâh, à la Sounnah du Messager d’Allâh et à celle des Califes bien guidés et savoir qu’ils ont une référence qui les ramène à Allâh - Ta’âla. Ils ne peuvent pas avoir une preuve pour soutenir ce que dit Un tel et Un tel. Au nom d’Allâh, ils ne leur serviront à rien. En effet, Allâh - Ta’âla - dit :

« Et le jour où Il les appellera et qu’Il dira : « Que répondiez- vous aux Messagers ? »

 [1]

Il n’a pas dit : « Le jour où il les appellera et leur dira : qu’avez-vous répondu à Un tel et Un tel ». Il est vrai qu’Allâh Ta’âla dit dans Son Livre incommensurable :

« Dis : Croyez donc en Allâh, en Son messager, le Prophète illettré qui croit en Allah et en Ses paroles. Et suivez-le afin que vous soyez bien guidés . »

 [2]

Il donne ainsi l’ordre de croire au Messager et de le suivre.

S’il en est ainsi, est-il possible qu’un homme croyant vraiment en Allâh et en son Messager se détourne de la Sounnah de Son Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam) en ne le suivant pas dans la manière dont il envisageait la foi en son Maître et en manipulant la description qu’Allâh a fait de Lui-même dans Son livre, et la description que Son Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam) a fait de lui à cause de simples suppositions attribuées à une prétendue rationalité.

Je leur conseille de retourner à Allâh - ’Azza wa Djal - et de laisser toute opinion pour ne retenir que la parole d’Allâh et celle de Son Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam). S’ils meurent en cet état, ils seront heureux. Autrement, ils encourent un grand danger et leurs maîtres [à penser] ne leur serviront à rien. À ce propos, Allâh - Ta’âla - dit :


« (Rappelle- toi) le jour où chaque âme viendra, plaidant pour elle-même, et chaque âme sera pleinement rétribuée pour ce qu’ elle aura œuvré sans qu’ ils subissent la moindre injustice. »

 [3]

Je répète le conseille que je prodigue à tout croyant. Il s’agit de se référer au livre d’Allâh et à la Sounnah de son Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam) en matière de croyances relatives à son Maître que l’on adore et aux Califes bien guidés qui ont succédé au Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam), et à la conduite des imams des Musulmans qui ont guidés les hommes à la lumière et la voie indiquée par Allâh et Son Messager, sans se référer à la raison qui produit des suppositions sans rapport avec la vérité en ce qui concerne Allâh - Ta’âla - ses noms et attributs.

SHeikh al-Islâm Ibn Taymiyyah a porté une parole de vérité, lorsqu ’il s’est adressé aux gens de la rhétorique en disant : « Ils comprennent bien, mais il n’ont pas de science ; Ils sont intelligents, mais dépourvus de pureté morale ». L’on doit approfondir ses connaissances en matière de connaissances tiré du livre d’Allâh et de la Sounnah de Son Messager (sallallahu ’alayhi wa sallam).

Je demande à Allâh de nous faire mourir tous dans la foi et de nous permettre de Le concentrer dans un état qu’Il agrée de nous. Il est Omnipotent. Louange à Allâh, le Maître de l’univers. Puisse Allâh bénir et saluer notre prophète Muhammad, sa famille et ses compagnons.

Chers étudiants, je vous invite à appeler vos frères à ce que vous venez d’entendre. En effet, il constitue au nom d’Allâh la stricte vérité. Quiconque découvre la vérité en dehors de ce qui vient d’être dit, nous sommes prêts à l’accepter et à nous y cramponner. [4]

Notes

[1] Coran, 28/65

[2] Coran, 7/158

[3] Coran, 16/111

[4] Kitâb ul-’Ilm de SHeikh Ibn ’Uthaymîn, p.226

copié de http://www.manhajulhaqq.com/spip.php?article34

 

SHeikh Muhammad Ibn Sâlih al-’Uthaymîn (rahimahullâh)


19/03/2013


Les frères musulmans (al ikhwanu al musslimine)

Question :


Quelle est la position des frères et sœurs du manhaj salafi concernant les Ikhwan Mouslimin (frères musulmans) et leurs disciples tels que Hassan el Banna et Sayyid Qotb ? Pouvons nous prendre la science de leur part ? Les considérons (Hassan el Banna et Sayyid Qotb) nous comme des martyrs ?

Réponse :


Notre position, étant celle de ceux qui suivent la voie des salafs, envers les musulmans, en général, et envers les Ikhwan Mouslimin, en particulier, est que nous les conseillons, les rappelons et leur clarifions leurs erreurs avec bonne remontrance et sagesse.

Nous ne participons pas à leurs actes de sectarisme (tahazzoub) et dans ce qu’ils font comme innovations (bid’a), tel que décréter qu’un individu soit martyr. L’imam al Boukhary a nommé un chapitre dans son authentique (sahih) : « il ne doit pas être dit qu’untel ou untel est martyr ». Nous souhaitons donc que ces personnes, ayant été tuées, soient martyres mais nous ne nous prononçons pas. Nous n’avons pas la capacité de qualifier les compagnons de martyrs sauf ceux que le prophète a qualifié ainsi. Par exemple, le prophète a dit de Hamza :

« Il est le chef des martyrs (au paradis) ».

Il témoigna du fait que beaucoup de compagnons moururent en martyrs. Quant aux individus n’étant pas de leur époque, nous ne pouvons pas nous prononcer sur leur éventuel statut de martyr. Parmi les gens tués, il y en a eu qui étaient bien meilleurs que Hassan el Banna et Sayyid Qotb auxquels nous n’avons pas attribués le statut de martyrs. Nous demandons à Allah d’être Miséricordieux envers nous et de nous pardonner nos péchés. Nous ne devons pas aller dans les extrêmes concernant certaines personnes (savantes ou non), de telle manière à aller au-delà de ce qu’Allah nous a autorisé en disant untel est martyr et untel ne l’est pas. Ceci est de l’insolence envers la religion d’Allah. Nous demandons à Allah la miséricorde et le haut niveau (du paradis) pour les bienfaiteurs et le pardon pour les malfaiteurs et les pécheurs. Nous n’attribuons à personne le paradis ou l’enfer. Telle est la croyance des gens de la Sounna et du Consensu (Ahlous sounna wal djama’a). Et Allah est plus Savant (Allahou a’lem).


Cheikh Abou Anass Mussa aal Nassr
Traduit par Umm Sajida
Revu par Nibal adjerby
Tiré du site al-manhaj.com


19/12/2012


L'origine de la secte des Khawaridjs

Leur origine

Amr ibn al-As recommande à Mu'âwiya d'appeler à un arbitrage sur la base du Coran pour mettre fin au différend qui existe entre eux. Alî, confiant dans le fait qu'il est dans son droit, accepte en disant: "J'ai priorité pour cela ; que le livre d'Allâh soit donc entre nous !". (Fath Al-Bâri 8/748)

Il est prévu que, dans le but de cesser de faire couler le sang, deux hommes soient désignés comme arbitres, l'un du groupe de Alî et l'autre de celui de Mu'âwiya, et que leur décision fasse autorité. Muâwiya présente Amr ibn al-As, tandis que Alî est représenté par Abû Mûssa al-Ash'arî (il avait proposé un autre personnage mais il a dû céder devant l'avis de son groupe).

L'arbitrage doit se dérouler en ramadan 37 à Dûmat al-jundul, à Adhruh.

Ceux qui - dans le groupe de Alî - refusent l'arrêt des combats et cet arbitrage quittent, mécontents, ses rangs ; cela leur vaudra le nom de "kharidjites", "les sortants". Ils étaient déjà opposés à Mu'âwiya et à Amr ibn al-As; ils sont maintenant opposés à Alî aussi.

Ibn 'Abbas leur montre leurs erreurs

Abdoullâh Ibn 'Abbâs , alla voir Ali et lui demanda la permission d'aller parler à ces gens. Ali hésita, craignant que Abdoullâh ne fût en danger entre leurs mains, mais finalement Alî laissa libre cours à l'optimisme de Abdoullâh qui était sûr que rien n'arriverait !

Abdoullâh alla jusqu'au groupe en question. Il les trouva absorbés par le culte. Certains n'étaient pas d'accord pour le laisser parler mais d'autres étaient prêts à lui tendre l'oreille. "Dites-moi, demanda Abdoullâh, quel grief avez-vous à l'égard du cousin du Prophète le mari de sa fille et le premier de ceux qui ont cru en lui ?".

Les hommes se mirent à énumérer trois causes principales de leur mécontentement à l'encontre d'Ali Ibn Abî Talib, qu'Allâh l'agrée.

Premièrement, le fait qu'il nomma des hommes comme juges pour trancher sur une question dont le jugement ne revenait qu'à Allâh (Exalté soit-Il). C'est à dire que 'Ali avait accepté l'arbitrage d'Abû Mûsâ Al-Ash'arî et de 'Amr Ibn al 'As dans son conflit avec Mu'awiyah.

Deuxièmement, le fait qu'il ait livré bataille sans pour autant récupérer du butin ou constituer des prisonniers de guerre.

Troisièmement, le fait qu'il n'ait pas exigé le titre de Prince des Croyants pendant l'arbitrage bien que les musulmans lui aient prêté serment d'allégeance et qu'il était leur Calife !

A leurs yeux, il y avait manifestement un signe de faiblesse alors qu'Ali Ibn Abî Talib était prêt à apporter sa position légitime en tant que Prince des croyants dans ce discrédit.

En réponse à cela, Abdoullâh demanda s'il leur citait des versets du Coran et des paroles du Prophète pour lesquels ils n'avaient aucune objection et qui seraient en rapport avec leurs critiques, seraient-ils prêts à revoir leur position. Il répondirent que oui, et Abdoullâh commença donc: "Concernant votre avis sur le fait qu'Ali avait nommé des hommes pour juger une affaire n'appartenant qu'au jugement d'Allâh (Exalté soit-Il). Allâh (Exalté soit-Il) dit dans le Coran:

{Ô les croyants ! Ne tuez pas de gibier pendant que vous êtes en état d'Ihram (sacralisation). Quiconque parmi vous en tue délibérément, qu'il compense alors, soit par quelque bête de troupeau, semblable à ce qu'il a tué, d'après le jugement de deux personnes intègres parmi vous.} (5/95) .

Je vous en prie alors, par Allâh ! Est-ce que le jugement des hommes pour des questions touchant à la préservation de leur sang et de leur vie et concernant la paix entre les hommes ne méritent pas plus d'attention que le jugement à propos d'un lapin valant un quart de dirham ?

Ils répondirent bien sûr que le jugement était plus important dans le cadre de la préservation des vies des croyants et dans l'établissement de la paix entre eux que pour celui de tuer un gibier dans l'enceinte sacrée (pendant le pèlerinage), chose pour laquelle Allâh (Exalté soit-Il) sanctionne le jugement des hommes.

"En avons-nous fini avec cette question ?", demanda Abdoullâh et ils répondirent: "Ô Allâh oui !".

Abdoullâh poursuivit: " Sur le fait qu'Ali avait livré bataille sans pour autant constituer de prisonniers de guerre comme d'ailleurs le Prophète fit ! Voulez-vous vraiment prendre votre Mère 'Aicha comme captive et la traiter comme telle ? Si votre réponse est oui, c'est que vous êtes tombés dans la mécréance. Et si vous dites que 'Aicha n'est pas votre Mère, vous tomberiez aussi dans le kufr car Allâh (Exalté soit-Il) a dit:

{Le Prophète a plus de droit sur les croyants qu'ils n'en ont sur eux-mêmes ; et ses épouses sont leurs mères} (33/6).

"Choisissez pour vous ce que vous voulez" dit Abdoullâh puis il leur demanda: "En avons-nous fini avec cette question ?", et à ce moment-là ils répondirent: "Ô Allâh oui !".

'Abdoullâh continua: " Quant à votre prise de position sur le fait qu'Ali a abandonné le titre de Prince des Croyants, rappelez-vous que le Prophète lui-même, au cours de la ratification du pacte de Houdaybiyya, exigea que l'on y écrive: " Ceci a été admis par le Messager de Allâh…. ".

Mais Suhayl porte-parole des polythéistes, dit alors: "Si nous avions été convaincus que tu étais un Messager d'Allâh, nous ne t'aurions pas bloqué l'accès à la Ka'ba, ni ne t'aurions combattu ! Ecris plutôt: "Mouhammad Ibn Abdoullâh". Et le Prophète accepta en disant: "Par Allah, je suis le Messager d'Allâh même s'ils le nient !".

A ce moment-là, Abdoullâh Ibn 'Abbâs demanda aux dissidents: "En avons-nous fini avec la question ?". Et ils répondirent encore une fois: "Ô Allah, oui !".

La majorité, environ vingt mille hommes, rejoignirent les rangs d'Ali. Environ quatre mille cependant restèrent obstinés. Ces derniers furent bientôt connus sous le nom de khawârij ou "kharijites".

Les kharijites se réunissent ensuite à Ctésiphon. Alî ne cesse de correspondre avec eux pour leur demander de revenir. Ils refusent et lui demandent de reconnaître d'abord qu'il a, lui, apostasié, et donc de se repentir. Alî continue sa correspondance, mais cette fois ils sont à deux doigts d'assassiner son émissaire. Puis ils prennent comme résolution que tout musulman n'appartenant pas à leur groupe pourra être tué et volé. Et ils se mettent effectivement à tuer ceux qui passent près du lieu où ils se sont établis. C'est seulement alors que Alî part les combattre. Il les écrase à Nehrawân, en l'an 38 (Fath Al-Bâri 12/355-356, 12/369-372)

Si les kharidjites sont décimés à Nehwarân, un petit nombre d'entre eux en réchappent. Ils rassemblent bientôt quelques partisans. Au mois de ramadan de l'an 40, Alî est l'objet d'une embuscade tenue par l'un d'entre eux et est mortellement blessé (Fath Al-Bâri 12/356-357)


Leurs déviations

Ils ont assassiné 'Othmân et 'Alî Ibn Abî Tâlib (radhiallahu 'anhuma). Ils ont assassiné Az-Zoubeyr Ibn Al-'Awwam et tué les meilleurs des Compagnons. Et ils n'ont jamais cessé de tuer les musulmans.

Ils n'adhèrent pas à la Sounnah et à la Djamâ'ah (au groupe), et ils n'obéissent pas non-plus au gouverneur. Plutôt, ils se rebellent contre lui, et renoncent au pacte d'allégeance avec lui, disant que cela ne fait pas partie de la religion.

Ainsi, quelqu'un qui commet un grand péché, un fornicateur, un voleur, quelqu'un qui boit de l'alcool par exemple, sont tous considérés comme étant mécréant.

Ibn Al-Qayyîm (rahimahullâh) a dit à propos d'eux: "Ils ont des preuves tirées des textes, qu'ils ne comprennent pas, ainsi, ils leur a été donné peu de science."

Source: sounna.com

19/12/2012


Mise en Garde contres les Habaches.

 

 

 

Chères Frères et Soeurs,

 

 

J'attire votre attention particulière d'un fléau qui touche la communauté musulmane en France et dans le Monde entier .

 

Cette secte Appelé Habache recrute de nouveaux partisans en France souvent représente dans des centres Ahli Sounnah notamment sur Paris et sa région et dans toutes les grandes villes de France.

 

Je vous invite a visiter le site http://www.habache.online.fr afin d'apprendre et de connaitre cette Secte afin de ne pas sombrer dans l'ignorance et dans la mauvaise croyance de ces égarés.

 

 

L' Administrateur du site Embrasse l'islam.


18/11/2012


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