Embrasse L Islam

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Innovation :


Le jugement de la lecture collective du Coran à la mosquée ?

 

Le jugement de la lecture collective du Coran à la mosquée ?


Commission Permanente pour les Recherches Académiques
et l’Ifta (consultation religieuse) en Arabie Saoudite.

Louange à Dieu uniquement, prière et salut sur le dernier des prophètes, ainsi que sur ses proches, ses compagnons...Ceci dit :

Le sens de la question est [assez] général. Supposé que l’on entend par là qu’ils lisent tous ensemble et en une seule voix, alors ceci n’est pas légiféré et le moins que l’on puisse dire est que cela est détestable.
En effet, il n’a pas été rapporté ni du Prophète (sala Allah âlaïhi oua salam), ni de ses Compagnons une telle pratique. Mais si cette lecture a pour but l’enseignement [du Livre], nous espérons qu’il n’y a aucun mal en cela.
D'autre part, si cela sous-entend qu’ils se réunissent dans le but de lire le Coran pour sa mémorisation ou son apprentissage et que l’un d’eux fasse la lecture et les autres écoutent, ou que chacun d’eux lisent indépendamment des autres sans élever sa voix et sans que cela soit en harmonie avec les autres, alors ceci est réglementaire, compte tenu de ce qui a été rapporté de façon sûre du Messager d’Allah (sala Allah âlaïhi oua salam): « Chaque fois que des gens se réunissent dans une maison d’Allah pour lire et étudier ensemble le livre d’Allah, la quiétude leur est procurée, les anges viennent les encadrer, la miséricorde leur est accordée, et Allah les mentionne devant Son entourage. » (Rapporté par Mouslim).

Dieu est le Seul garant du succès. Paix et Salut sur notre Prophète Mohammed, ses proches et tous ses compagnons.

Source :
www.sahab.net

La Commission Permanente pour les Recherches Académiques et l’Ifta (consultation religieuse) en Arabie Saoudite.

Président :
°Abdel °Azîz ibn °Abd Allah IBN BAZ
Vice-Président :
°Abdel °Ar-Razaq ‘Afify
Membre :
°Abd Allah Ibn Ghoudiyan
Membre :
°Abd Allah Ibn Ya’qoub

Fatawas de la Commission Permanente - volume 4/112
Traduction rapprochée : Ibn Hamza


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L’apprentissage du Coran par la lecture collective ?



Réponse:
Nous ne connaissons pas, dans la jurisprudence, ce qui pourrait empêcher la lecture du Saint Coran de manière collective par des élèves souhaitant apprendre la manière de le psalmodier ainsi que les règles de lecture et de récitation.
Dieu est le Seul garant du succès. Paix et Salut sur notre Prophète Mohammed, ses proches et tous ses compagnons.

Source :
www.sahab.net

La Commission Permanente pour les Recherches Académiques et l’Ifta (consultation religieuse) en Arabie Saoudite.

Président :
‘Abdel ‘Azîz ibn ‘Abd Allah IBN BAZ
Membre :‘Abdel ‘Azîz Al Sheikh
Membre :
Bakr Abou Zayd

Fatawas de la Commission Permanente - volume 12/91
Traduction rapprochée : Ibn Hamza

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La lecture du Coran en groupe et en une seule voix avant la prière du vendredi



Question:
Quel est le jugement de la lecture collective du Coran et en une seule voix, en particulier le jour du vendredi avant l'entrée de l'Imam...

Réponse:
Ceci n’est pas autorisé, et le fait de l’instaurer le jour du vendredi avant l'entrée de l'Imam est une innovation [Bid’a] inventée !

Et Allah est Celui qui facilite et que la prière et la paix d’Allah soient sur Son Messager, sa famille et tous ses compagnons.

Source :
Majmou' Fatawas de la Commission Permanente pour les Recherches Académiques et l’Ifta (consultation religieuse) en Arabie Saoudite.- volume 25 – (Al ‘Aquida)


Traduction rapprochée : Ibn Hamza

 

copié de http://alminhadj.fr


18/02/2013


Questions -Réponses au sujet de l'innovation ( bida'a )

Question :

 
Qu'est-ce qui est et qu'est-ce qui n’est pas une bid'a (innovation) ?

Réponse
 :

Selon la 
Shari'a, la définition est :
Adorer Allah d’une manière qu'Allah n'a pas prescrite

Vous pouvez aussi dire :
Adorer Allah d’une manière qui n’est pas celle du prophète (salallahu 'alayhi wa sallam) ou de ses successeurs bien guidés (Al-Khulafa Ar-Rashidun).

La première définition est prise du verset (traduction rapprochée) :

« Ou bien auraient-ils des associés [à Allah] qui auraient établi pour eux des lois religieuses qu’Allah n’a jamais permises ? » [sourate As-Shura :21]

La deuxième définition est prise du hadith du prophète qui a dit :

« Je vous recommande d'adhérer à ma voie (Sunna) et la voie des successeurs bien guidés (Al-Khulafa Ar-Rashidun) qui viennent après moi. 

Tenez-vous-y fermement et mordez à cela avec vos molaires [c'est-à-dire, accrochez-vous-y fermement] et prenez garde des choses nouvellement inventées. »

Donc quiconque adore Allah d’une façon qu'Allah n'a pas prescrit ou d’une façon qui n'est pas conforme à la voie du prophète (
salallahu 'alayhi wa sallam) ou de ses successeurs bien guidés (Al-Khulafa Ar-Rashidun), est un innovateur, que cette adoration innovée ait un rapport avec les noms et attributs d'Allah, ou avec Ses jugements et lois.

En ce qui concerne les choses ordinaires et les coutumes, celles-ci ne sont pas appelées 
bid'a (innovation) en islam, bien qu'elles puissent être décrits comme tel en termes linguistiques. 

Mais elles ne sont pas des innovations dans le sens religieux et elles ne sont pas des choses contre lesquelles le prophète (
salallahu 'alayhi wa sallam) nous avertissait.

Et il n'y a en islam aucune 
bid'a hassana (bonne innovation).

Majmu’ Fatawa de Shaykh Ibn Uthaymin, vol. 2, p. 291]

 
Question :

Quels sont les types de 
bid'a ?

Réponse
 : 

La 
bid'a peut être divisé en deux catégories :
  1. La bid'a qui constitue un kufr (mécréance)
  2. La bid'a qui ne constitue pas kufr 

     
Question :

Quelle est la définition entre la 
bid'a qui constitue kufr et celle qui ne constitue pas kufr ?

Réponse
 : 

Shaykh Hafidh Al-Hakami (
rahimahullah) a dit :

« Le type de 
bid'a qui constitue un kufr est celle qui nie une question sur laquelle il y a un consensus des savants, qui est largement connue et sur laquelle aucun musulman n’a d’excuse pour ne pas la connaître, comme nier quelque chose qui est obligatoire, rendre obligatoire ce qui n'est pas obligatoire, ou rendre  quelque chose de haram,  halal. Ou rendre quelque chose de halal, haram; ou croire certaines choses sur Allah, Son messager (salallahu 'alayhi wa sallam) et Son Livre desquels ils sont au-dessus, que ce soit un déni ou une affirmation - parce que cela signifie ne croire au Qur'an et au message avec lequel Allah a envoyé à Son messager (salallahu 'alayhi wa sallam).
 
Les exemples incluent la bid'a des Jahmiya, qui ont nié les attributs d'Allah; ou la notion que le Qur'an a été créé; ou la notion que certains des attributs d'Allah ont été créé; ou la bid'a des Qadariya qui ont nié la connaissance et les actions d'Allah; ou la bid'a des Mujassima qui ont assimilé Allah à Sa création ... etc.

La deuxième catégorie, la  
bid'a qui ne constitue pas kufr, est définie comme celle qui n'implique pas de rejet du Qur'an ou de quelque chose avec lequel Allah a envoyé à Ses Messagers.
 
Les exemples incluent les bida’ des Marwani (qui ont été dénoncées par les plus grands compagnons qui ne les ont pas approuvés, bien qu'ils ne les aient pas déclaré kafir ou aient refusé de leur faire allégeance cause de cela), comme le retardement de certaines des prières jusqu'à la fin des temps dus, faire la khutba du ‘Id avant la prière ‘Id, faire la khutba assis le vendredi, etc.

[
Ma'arij Al-Qubul, 2/503-504]

 
Question :

Quelle est le jugement sur celui qui commet une 
bid'a, est-il un kafir (mécréant) ou non ?

Réponse
 :

La réponse est que cela dépend.

Si la 
bid'a constitue un  kufr, la personne est un des deux types suivants :

1. Si on sait que son intention est de détruire les bases de l’islam et en faire douter les musulmans. Une telle personne est certainement un 
kafir; en effet, il est étranger à l’islam et est un des ennemis de la foi.

2. Ou il est trompé et confus; il ne peut pas être accusé d’être un 
kafir avant que la preuve ne soit établie contre lui, en toute équité.

Si la 
bid'a ne constitue pas kufr, il ne doit pas être accusé d’être un kafir. Plutôt, il reste musulman, mais il a commis une mauvaise action grave.

Question :

Comment traitons-nous avec ceux qui commettent une 
bid'a ?

Réponse
 :

Dans les deux cas, nous devons appeler ces gens - qui prétendent être musulmans, mais qui commettent des  
bida’ qui peuvent constituer un kufr ou moins que cela- à la vérité, en expliquant la vérité sans être hostile ou en condamnant ce qu'ils font.

Mais une fois que nous savons qu'ils sont trop arrogants pour accepter la vérité - Allah dit 
(traduction rapprochée) :

« N’injuriez pas ceux qu’ils invoquent, en dehors d’Allah, car par agressivité, ils injurieraient Allah, dans leur ignorance »[sourate Al-An'am :108]

Si nous découvrons qu'ils sont têtus et arrogants, nous devons dévoiler leur mensonge, parce qu'alors l'indication de leur mensonge devient une obligation sur nous.

En ce qui concerne le fait de s’éloigner d'eux, cela dépend de la  
bid'a.

Si c'est une 
bid'a qui constitue un kufr, il est obligatoire de s’éloigner de cette personne.

Si elle a d'un degré moindre que cela, il est essentiel d'examiner la situation plus loin.

Si quelque chose peut être fait en s’éloignant de la personne, nous le faisons; si aucun but ne sera servi par cela, ou qu’il sera seulement plus désobéissant et arrogant, nous devons éviter de le faire, parce que tout ce qui ne sert aucun but, il est meilleur de ne pas le faire.

Et aussi, en principe, il est 
haram de s’éloigner d’un croyant, parce que le prophète (salallahu ‘alayhi wa sallam) a dit :

« Il n'est pas permis à un homme d’abandonner [de ne pas parler à] son frère pour plus de trois [jours] »

Article tiré du site theclearpath.com
Source : Adapté de 
Majmu' Fatawa Ibn 'Uthaymin, vol. 2, p. 293
copié de salafs.com

Cheikh Mouhammad Ibn Salih Ibn ’Outheymine

10/11/2012


Essuyer son visage après les invocations ?

Question :


Nous avons reçu la visite de conseillers [religieux] qui disent sur la personne qui lève ses mains pour invoquer Allah, qu’elle ne doit pas essuyer son visage car le fait d’essuyer son visage après les invocations n’est qu’une innovation [bid’a].

 Ils disent également, que si le Mouadhin [celui qui appel à la prière] dit lors de l’iqama : « le moment est venu d’accomplir la prière – qad qamati as-salat », alors que certains groupes prononcent à la suite, les paroles suivantes « C’est Allah qui a fait en sorte qu’elle s’accomplisse et qu’elle le soit continuellement - aqamaha Allah oua adamaha », que cela n’est qu’une innovation et n’est pas acceptable.

 Montrez-nous donc, le jugement [exact] dans ces deux cas ?


Réponse :

 

sortbook  Premièrement

 

L’invocation et la supplication du serviteur auprès de son seigneur sont effectivement légiférées et [plutôt] à exhorter.

 

Le fait de lever les mains est également légiféré de manière authentique et comporte un geste d’imploration et une approche innocente envers Allah. Par contre, essuyer son visage avec ses mains après l’invocation : il a été rapporté de ce geste un hadith faible, selon Ibn Majah d’après Tarik Salah Ibn Hassan An-Nassari, d’après Muhammed Ibn Ka’b Al Qourdy d’après Ibn ‘Abass (radya Allah ‘anahouma), qui dit que le prophète صلى الله عليه وسلم a dit :


« Si tu invoques, alors invoques Allah avec la paume de tes mains et ne l’invoques pas avec leurs dos [tes mains], ensuite si tu as terminé essuies ton visage avec tes deux mains » et [cela] de part la faiblesse de Salah Ibn Hassan.


Ce hadith est considéré comme étant faible par Ahmad et Ibn Mou’iyan et Abou Hatim et Ad-Darqoutni ; Al Boukhari a dit : « mounkar al hadith » ; Abou Na’im Al Asbahany a dit : « mounkar al hadith matrouk (rejeté) » [etc.].


Il a été rapporté dans un autre hadith, selon At-Tirmidhi dans ses « sounan », d’après Abou Moussa Muhammad Ibn Al Mouthna et Ibrahim Ibn Ya’koub et selon plus d’une personne qui ont dit : qu’Hamad Ibn ‘Issa Al Jouhny a rapporté de Handhala Ibn Abi Soufyane Al Jamhy, d’après Salim Ibn ‘Abd Allah, d’après son père : selon ‘Omar Ibn Al Khatab (radya Allah ‘anahou) qui dit :


« le prophète صلى الله عليه وسلم levait ses deux mains dés lors qu’il invoquait Allah et il ne les baissait pas tant qu’il n’avait pas essuyer son visage avec ».


Muhammad Ibn Al Mouthna à dit dans son commentaire: « il ne les replaçait pas tant qu’il n’avait pas essuyer son visage avec ».


Abou ‘Issa à dit : « c’est un Hadith étrange, nous ne le connaissons que d'Hamad Ibn ‘Issa, et il est seul à l’avoir apporté en ce sens alors qu’il est peu connaisseur en hadith », or Handhala Ibn Abi Soufyan est digne de confiance et Yahya Ibn Sa’id Al Qoutân l’a suivi ; mais il y a Hamad Ibn ‘Issa qui l’a également suivi mais qui est considéré comme étant faible, suivant ce qu’a été rapporté par At-Tirmidhi.


En conséquence, l’invocation est une adoration légiférée tandis que l’essuyage du visage avec la paume des deux mains, à la suite d’une tradition prophétique (Sounna) qu’elle soit une parole prononcée ou un geste accomplit, s’avère ne pas être une pratique authentique.


Donc, délaisser cette pratique est prioritaire, d’autant plus que cela a été rapporté dans des variantes qui sont faibles !


Ceci, compte tenu de la nécessité de suivre les hadiths authentiques qui ne font pas mention de l’essuyage du visage.


sortbook  Deuxièmement


Les adorations sont fondées sur une jurisprudence restrictive [ ce qui est légiféré], Allah ne peut être adoré que selon Sa [propre] législation.


Il n’a pas été rapporté de manière authentique que le prophète صلى الله عليه وسلم a dit, après avoir entendu l’iqama : « C’est Allah qui a fait en sorte qu’elle s’accomplisse et qu’elle le soit continuellement - aqamaha Allah oua adamaha ».


Cependant Abou Daoud a rapporté cela dans ses « sounan », selon des variantes qui sont faibles : il dit d’après Suleyman Ibn Daoud Al ‘Ataky : d’après Muhammad Ibn Thabit : selon un homme des gens du Sham, d’après Chahr Ibn Houchab : d’après Abi Oumama ou selon certains compagnons du prophète ( qui dit que lorsque Bilal accomplissait l’iqama et disait : « le moment est venu d’accomplir la prière – qad qamati as-salat », le prophète صلى الله عليه وسلم répliquait par : « C’est Allah qui a fait en sorte qu’elle s’accomplisse et qu’elle le soit continuellement - aqamaha Allah oua adamaha ».

 

La raison de la faiblesse de ce Hadith se trouve dans sa chaîne de narration, il y a un homme inconnu et on ne peut pas, de ce fait, le prendre en considération.


En conclusion, il apparaît que le fait de dire :
«C’est Allah qui a fait en sorte qu’elle s’accomplisse et qu’elle le soit continuellement - aqamaha Allah oua adamaha » lorsque le résident (al mouquim) dit : « le moment est venu d’accomplir la prière – qad qamati as-salat» n’est pas une pratique légiféré car cela n’a pas été rapporté de façon authentique par le prophète صلى الله عليه وسلم.


Il est donc recommandé à celui qui entend l’iqama de répéter ce que dit le résident (al mouquim) tel l’appel à la prière car le prophète صلى الله عليه وسلم a dit : « Quand vous entendez l'appel à la prière répétez ce que le muezzin dit »

Allah est le Seul garant du succès.

Paix et Salut sur notre Prophète Mohammed, ses proches et tous ses compagnons

Source : www.sahab.com
Traduction rapprochée :Ibn Hamza

copié de alminhadj.fr


10/11/2012


Fêter les Anniversaires en islam ?

Question :


Le Chaykh a été question au sujet des anniversaires (a'yâdu-lmîlâd) ?

Réponse du Noble Chaykh Muhammad bn Sâlih Al-'Uthaymîn - qu'Allâh lui fasse miséricorde - :

D'après ce qui ressort de la question, c'est que ce qui est voulu [par] « 'îdu-lmîlâd » c'est [l'anniversaire de] l'homme.

Chaque fois q'une année s'écoule [à compter du jour de] sa naissance, [les gens lui] innovent une fête au cours de laquelle se rassemblent les membres de la famille autour d'un grand ou petit festin (ma'dabah).

Et mon avis en cela, c'est [son] interdiction (mamnû') car, en Islâm, il n'y a pas de fête ('îd) pour une quelconque occasion (munâsabah) hormis la fête du sacrifice ('îdu-ladhâ), celle de la rupture [du jeûne] ('îdu-lfitr) de Ramadân et l'évènement hebdomadaire ('îdu-lusbû') qui est le jour du vendredi (djumu'ah) et dans les « Sunan » de Nisâ î, d'après Anas Ibn Mâlik -l'Agrément d'Allâh sur lui- :

« Les gens de l'époque de l'ignorance avaient deux jours dans l'année durant lesquels ils se divertissaient et lorsque arriva le Prophète - Prière et Salut d'Allâh sur lui - à Médine il dit :

« Vous aviez deux jours durant lesquels vous vous divertissiez mais [désormais,] Allâh vous les a changé en mieux que cela : la fête de la rupture et celle du sacrifice. »

Et [fêter les anniversaires,] risque d'ouvrir une porte à l'innovation (bid'ah) comme ce qui pourrait être dit :

« Si fêter l'anniversaire (mawlid) du nouveau-né (mawlûd) est permis alors sa permission pour Messager d'Allâh -prière et Salut d'Allâh sur lui- est prioritaire (awlâ). »

Et toute chose dont on ouvre la porte et qui mène à une interdiction est [elle-même] interdite.

Et c'est Allâh qui accorde la Succès.

« madjmû' fatâwâ wa rasâ il fadîlat ach-chaykh muhammad sâlih al-'uthaymîn » (2/302).
copié de mukhlisun.com
copié de 3ilm.char3i.over-blog.com
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Ibn 'Outheymine 

10/11/2012


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