Embrasse L Islam

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La recherche du savoir , repose sur la sincérité.

La sincérité dans la recherche su savoir survient en ayant l’intention de se rapprocher d’Allah (‘azza wa jall) par tout ce qui implique Son amour et Son agrément et notamment le fait de Le connaître Lui-même ainsi que Ses attributs, connaître les obligations qu’Il a prescrites et auxquelles on doit se conformer et réfuter tout défaut ou défaillance portés à Son encontre.

 

 

 

 

On doit aussi connaître les obligations que tout musulman religieusement responsable doit remplir, que ce soit les différents actes d’adoration ou les relations interpersonnelles.

 

On doit avoir également la connaissance de ce qui est licite de ce qui est illicite, tout en veillant, d’une part, à se libérer du joug de l’ignorance, à préserver la Charia d’Allah (‘azza wa jall) au moyen de l’apprentissage, à faire des efforts afin de bien maîtriser les connaissances apprises par cœur et se servir des écrits, et d’autres part, à mettre en application les enseignements qu’on a appris et maîtrisés, conformément aux ordres de la religion dont on ne doit point dépasser les limites.

 

Car, en vérité, le fruit du savoir est la pratique, et le savoir dépend de son application pour durer.

 

Bien plus, la mise en application du savoir est un corollaire de la sincérité et une cause de sa fructification et accroissement.

 

Le Prophète صلى الله عليه و سلم dit :

 

«  Le savant qui enseigne le bien aux gens en ne s’occupant que peu de soi est pareil à la mèche d’une lampe : elle se consume pour éclairer les gens » (1)

 

car l’application du savoir qu’on a appris est une manière de remercier Allah (‘azza wa jall) de nous l’avoir attribué.

 

Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :


 « Si vous êtes reconnaissants, très certainement j’augmenterai (Mes bienfaits) pour vous » (Ibrâhîm, Abraham : 7)

 

Et celui qui pratique ce qu’il a appris, Allah عزّ و جل lui accordera la connaissance de ce qu’il n’a pas encore appris.

 

Alors que celui qui ne met pas en pratique ce qu’il a appris prouve qu’il n’est pas sincère dans son acquisition du savoir.

 

Celui-ci sera châtié par l’oubli de ses connaissances, se verra frusté du bien et méritera l’abomination (d’Allah et des gens) et les afflictions.

 

Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :

 

« Et puis, à cause de leur violation de l’engagement, Nous les avons maudits et endurci leurs cœurs : ils détournent les paroles de leur sens et oublient une partie de ce qui leur a été rappelé » (El-Mâ’ida, La table Servie : 13).

 

Ce verset désigne que le fait de ne pas appliquer la science entraîne l’echec dans l’étude, la disparition de la bénédiction, l’oubli du savoir et l’oubli de sa mise en pratique en abandonnant les tâches reliées au processus de l’apprentissage.

 

Eth-Thawri رحمه الله a dit :

 

« Le savoir sollicite la pratique. Si la pratique n’a pas lieu, le savoir s’en va ! » (2)

 

C’est pour cette raison que la véracité se manifeste en tant que caractère lié intimement à la sincérité. L’apprenant doit l’acquérir bien avant la science.

 

Et, en vérité, il ne peut s’élever aux degrés de la perfection et du savoir qu’une personne véridique.

 

El-Awzâ’i رحمه الله a dit :

 

« Apprends à être véridique avant que tu n’apprennes la science ».

 

Wakî’ (رحمه الله  ) a dit aussi :

 

« Il ne pourra s’élever dans les rangs de cette spécialité qu’un véridique » (3).

 

Outre l’intention de se libérer soi-même du joug de l’ignorance, l’étudiant doit aussi avoir l’intention d’aider autrui à s’en libérer.

 

Ceci se fait par la prédication au sentier d’Allah عزّ و جل, en transmettant le savoir aux gens et en éclairant ses préceptes et la vérité qu’Il a révélés, tout en la propageant afin qu’elle soit une source de bien et un chemin de salut, conformément à ce qu’Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :

 

« Dis : « Voici ma voie, j’appelle les gens (à la religion) d’Allah, moi et ceux qui me suivent, en nous basant sur une preuve évidente ». (Yoûssouf , Joseph : 108)

 

et (Traduction du sens) :

 

« Allah prit, de ceux auxquels le Livre était donné, cet engagement : « Exposez-le, certes, aux gens et ne le cachez pas » (Âl ‘Imrân, la famille d’Imrane : 187).

 

Il doit, également, ouvrer pour la protection du monothéisme ainsi que de tout ce qui s’y attache, et préserver la religion, dans son état parachevé, de toute chose intruse.

 

Il faudrait, au même titre, qu’il défende la Charia d’Allah عزّ و جل qui est apportée par l’Elu (Mouhammad صلى الله عليه و سلم), et qu’il la préserve des ajouts des hérétiques et des corrections qui viendraient s’y ajouter.

 

Les intentions diffèrent en ce qui concerne l’acquisition du savoir

 

Quiconque joint cette pure et véridique intention à la pratique, sera, sans doute, bien guidé sur la bonne voie de la clairvoyance, du bien et de piété.


Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :

 

« Quant à ce qui se mirent sur la bonne voie, Il les guida encore plus et leur inspira leur piété » (Mouhammad : 17)

 

Allah (عزّ و جل  ) lui ouvrira les portes du bien ; et les bienfaits de la vie d’ici-bas lui seront soumis ainsi que la récompense de l’au-delà, grâce à sa noble et bonne intention.

 

Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :

 

« Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne œuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions » (En-Nahl , les abeilles : 97).

 

Le Prophète صلى الله عليه و سلم dit :

 

« Celui dont la préoccupation est l’au-delà, Allah lui donnera la richesse du cœur, lui arrangera ses préoccupations et la vie d’ici-bas lui sera soumise » (4)

 

Ibrâhîm En-Nakha’i رحمه الله a dit :

 

« Celui qui recherche un savoir par lequel il désire la Face d’Allah, Allah lui attribuera du savoir ce qu lui suffira » (5)

 

Tandis que celui dont l’intention de l’acquisition du savoir est altérée et troublée et recherche, par son apprentissage, les plaisirs du bas monde tels que la possession de biens, le règne, la parade, l’ostentation, la prédominance, la renommée et les éloges ainsi que d’autres mauvaises visées, la volonté de celui-là est, sans doute, corrompue et nulle.

 

Cela fera disparaître la bénédiction et la bienfaisance de son savoir.

 

Le Prophète صلى الله عليه و سلم  dit :

 

« Celui qui apprend une science par laquelle on recherche la Face d’Allah, mais il ne l’apprend que pour atteindre un bien de ce bas monde, il ne sentira pas l’odeur du paradis le Jour de la Résurrection » (6)

 

Il dit dans un autre hadith :

 

« Celui qui apprend une science afin de rivaliser les savants ou de polémiquer avec idiots et de détourner vers lui les gens, Allah le fera entrer en enfer » (7)

 

Toutefois, il se peut que, grâce à sa science, cet étudiant obtienne, dans sa vie présente, ce qu’il souhaite par sa mauvaise intention.

 

Mais, il n’aura, tout de même , que ce qu’Allah عزّ و جل lui a prédestiné, et, sa rétribution sera la pauvreté, la dispersion (de ses visées), l’insouciance et la perte ici-bas, puis sa fin sera l’échec.

 

Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :

 

« Ceux qui veulent la vie présente avec sa parure, Nous les rétribuons exactement selon leurs actions sur terre, sans que rien ne leur en soit diminué » (Hoûd : 15).

 

Donc, celui dont l’objectif est d’atteindre uniquement les intérêts de cette vie, Allah عزّ و جل lui donnera – s’Il veut- le bienfait de ce bas monde, comme déterminé dans le verset suivant :

 

Traduction du sens :

 

« Quiconque désire la vie immédiate, Nous nous hâtons de donner ce que Nous voulons, à qui Nous voulons. Puis, Nous lui assignerons l’Enfer où il brûlera méprisé et repoussé » (En-Isrâ’, le voyage nocturne : 18)

 

Et il ne doit nullement rechercher, en se servant de la science religieuse, des choses hors de ce domaine.

 

Car la recherche du savoir (religieux) est un acte d’adoration, et quiconque l’utilise comme moyen pour atteindre des objectifs pour lesquels celui-là n’est pas institué, contrarie donc la Charia.

 

Sa rétribution sera donc l’annulation de son acte. Comme il peut également être traité à l’opposé de son intention.

 

Le Prophète صلى الله عليه و سلم dit :

 

« … alors que celui qui ne se soucie que pour la vie d’ici-bas, Allah lui placera sa pauvreté devant ses yeux, lui dispersera ses affaires, puis, il n’atteindra des biens du bas monde que ce qu’Allah lui a prédestiné » (8)

 

El Hassane El-Basri رحمه الله a dit :

 

« Celui qui cherche à apprendre quelque chose de cette science désirant la récompense d’Allah, il l’atteindra si Allah veut.

Cependant, celui qui la recherche désirant (les intérêts) du bas monde : (ce qu’il en aura obtenu) sera donc sa récompense» (9)

 

Cela parce qu’il s’est servi de l’adoration pour une chose qui n’est pas instituée par la Charia, et l’a utilisée comme moyen pur arriver à ses objectifs.

 

Ce qui est, en fait, une injustice à l’encontre d’Allah عزّ و جل touchant à Son droit sur Ses créatures (l’adoration) ; de même que c’en est une manipulation de la Charia consistant à placer les choses là où elles ne doivent pas être placées.

 

Ceci implique aussi que cette personne sera, inévitablement, la première parmi les gens à être interrogés le Jour de la Résurrection.

 

En effet, trois types d’individus qui se sont forcés et fatigués dans l’accomplissement des obéissances et des adorations, mais celles-ci ne leur ont été point utiles.

 

Elles sont plutôt devenues une source de châtiment pour eux.

 

La cause : c’est qu’ils n’ont pas désiré la Face d’Allah par ces œuvres.

 

Parmi ces types :

 

« … et un homme ayant appris une science qu’il a aussi enseignée, et a appris le Coran ; (le jour de Résurrection) on l’interpellera puis on lui fera dénombrer toutes les grâces qu’il a obtenues ; (de son côté) il les confirmera, ensuite on l’interrogera : Qu’as-tu fais avec ces grâces ?

ll répondra : j’ai étudié la science et je l’ai enseignée, et j’ai récité (appris) le Coran, pour (la cause d’Allah).

On lui dira alors : tu mens ! Car, tu as étudié pour qu’on dise de toi : c’est un savant ! Et tu as récité le Coran pour qu’on dise aussi : c’est un récitateur ! Et c’est bien cela qui a été dit. Ainsi, on ordonna qu’on le traîne sur son visage pour le jeter dans le Feu » (10)

 

Il y a aussi une catégorie d’étudiants qui ne recherchent pas la science pour des objectifs mondains, mais ils se contentent de ne l’acquérir que pour elle-même.

 

Ils veulent obtenir la sagesse et la connaissance sans pour autant la mettre en pratique.

 

Cela, aussi, entache la sincérité parce que l’étudiant (qui fait cela) n’est pas entièrement sincère.

 

Il utilise l’apprentissage comme un moyen pour une adoration que la Charia n’admet pas.

 

Il est de notoriété que la science qui nous est recommandée, dont nous avons besoin, dont Allah عزّ و جل nous a informé et celle qu’Il nous a apprise, est la science qui constitue un moyen pour la pratique et la mise en application de ce qu’elle implique, à savoir le fait de croire en Allah عزّ و جل, accomplir les actes d’adoration ainsi que les obligations et éviter les interdits et autres…

 

Donc, ladite science n’est pas recommandée pour elle-même, mais plutôt pour son fruit qu’est la pratique.

 

Ainsi, celui qui a un savoir et ne le met pas en pratique, ressemble aux juifs qui ont encouru la colère du Seigneur, et celui qui agit sans savoir, ressemble aux chrétiens égarés.

 

Alors que celui qui réunit le savoir bénéfique et les bonnes actions et s’y attache, sera comme Allah عزّ و جل dit (Traduction du sens) :

 

« … ceux-là seront avec ceux qu’Allah a comblés de Ses bienfaits ; les prophètes, les véridiques, les martyrs, et les vertueux. Et quels bons compagnons que ceux-là ! » (En-Nissâ’ , les Femmes : 69)

 

Chaykh El-Islâm Ibn Taymiya رحمه الله a dit:

 

“Il ressemble à cela ce qu’on rapporta qu’un home a entendu quelqu’un dire: “Les sources de la sagesse jailliront du Coeur et sur la langue de la personne qui vouera une intention sincère pour Allah pendant quarante jours” (11)  

 

Cet homme-là s’est donc exercé pendant quarante jours afin d’avoir cette sincérité pour obtenir la sagesse, mais n’en a rien eu !

 

Il s’est plaint alors chez un des sages de la religion et celui-ci lui déclara : « Certes, ta sincérité n’était pas vouée à Allah عزّ و جل mais à la sagesse ! ».

 

Cela veut dire que dévouer une intention pure à Allah (عزّ و جل), c’est de la consacrer pour Sa Face (uniquement pour Lui).

 

Lorsque celle-ci sera accomplie, la sagesse viendra en conséquence.

 

Alors que si l’intention est initialement vouée à la sagesse, dans ce cas la sincérité est vouée à la sagesse, dans ce cas la sincérité est vouée à elle et non à Allah عزّ و جل.

 

En fait, ce qui s’est produit, c’est une illusion de sincérité.

 

Dans ce sens également, un hadith du Prophète صلى الله عليه و سلم stipule :

 

« Il n’y a jamais une personne qui se comporte avec humilité envers Allah sans qu’Il l’élève davantage » (12)

 

«Cette personne ne sera pas réellement humble si son intention est d’être élevée par Allah عزّ و جل. Cela est contraire à la modestie » (13)

 

Parmi les propos de nos Salafs (Pieux Prédécesseurs), en ce qui concerne la mise en pratique du savoir acquis, tout en ayant une bonne intention, celui de Mou’âdh Ibn Djabal رضي الله عنه qui a dit :

 

« Faites ce que vous voudriez une fois que vous auriez appris la science, mais sachez qu Allah ne vous récompensera pas pour l’avoir apprise sauf si vous la pratiqueriez » (14)

 

ainsi que ce lui d’Abou Ed-Dardâ’ رضي الله عنه :

 

« Il y aura des hommes qui auront la plus maléfique place auprès d’Allah le Jour Dernier : un savant qui n’a pas bénéficié de son savoir » (15).

 

Il a dit également :

 

« Je ne crains point qu’on me dira (le Jour Dernier) : Tu n’as rien appris ! Mais, j’ai plutôt peur qu’on me dise : qu’as-tu fais ? » (16).

 

Cependant, lorsque quelqu’un aime la science et désire l’apprendre, cela pourrait être une cause pur que son intention devienne bonne, et qu’Allah عزّ و جل lui facilitera la pratique, lui accordera le bien et lui en fera profiter.

 

On rapporta que Moudjâhid ibn Djabr رحمه الله a dit :

 

« Nous avons recherché la science alors que nous n’en avons pas une bonne intention. Puis, avec le temps, Allah nous a attribué la bonne intention » (17)

 

Ma’mar Ibn Râchid (رحمه الله) a dit :

 

« Jadis on disait : il arrive qu’un homme ne recherche pas la science pour la cause d’Allah, mais celle-ci s’impose au point que son intention devienne uniquement pour Allah » (18)

 

Il est aussi cité dans les deux Sahîhs (recueils de hadiths authentiques d’El-Boukhâri et Mouslim) un hadith, qui est rapporté par Abou Moûssa El-Ach’ari رضي الله عنه, établissant la comparaison entre deux types de prsonnes : une qui bénéficie de la bonne voie et la science qu’avait apportées l’Elu صلى الله عليه و سلم, et une autre qui n’en tire pas profit.

 

Ce hadith donne une image représentative des intentions des gens en ce qui concerne l’acquisition du savoir et leurs différentes motivations.

 

Le Prophète صلى الله عليه و سلم dit :

 

« La bonne voie et le savoir avec lesquelles Allah m’a envoyé sont à l’exemple d’une pluie qui abonda sur une terre.

Une partie de cette terre, tellement qu’elle est pure, a laissé pénétrer l’eau en elle et a fait poussé beaucoup de fourrage et d’herbes. Une autre partie infertile a retenu l’eau sur sa surface.

Les gens profitèrent alors- grâce à Allah- ils burent, abreuvèrent (leur bétail) et cultivèrent (leurs terrains).

Et une troisième partie de cette terre était plate et aride, ne retenait pas l’eau et ne donnait point de fourrage.

Cet exemple s’applique à une personne qui a appris la religion d’Allah, et a bénéficié de ce que j’en ai apporté : elle a étudié et enseigné.

Et, à l’opposé, une autre qui ne s’est point intéressée au savoir, et n’a pas accepté la bonne voie d’Allah avec laquelle je suis envoyé » (19)

 

Ibn Hadjar a dit :

 

« El-Qortobi et d’autres savants énoncent : Le Prophète صلى الله عليه و سلم a cité un exemple sur la religion qui lui a été révélée en la comparant à la pluie abondante.

Celle-ci tombe pendant que les gens en ont beaucoup besoin.

C’est ainsi qu’étaient les gens avant l’avènement de son Message.

Comme la pluie qui revivifie une terre morte, les sciences de la religion ressuscitent aussi les cœurs qui sont morts.

Ensuite, il a comparé les gens qui reçoivent ce savoir aux différentes sortes de terres sur lesquelles cette pluie tombe.

Il y a parmi ces gens celui qui détient un savoir, le pratique et l’enseigne aux autres.

Celui-là est pareil à une terre de bonne qualité.

Elle laisse l’eau s’y infiltrer pour l’irriguer, et ainsi les gens bénéficient d’elle.

On trouve également certains individus qui se donnent pour vocation l’accumulation des connaissances en y consacrant toute leur vie, mais soit ils n’appliquent pas les oeuvrent surérogatoires que la science édicte, soit ils ne s’instruisent pas avec, et malgré, ils la transmettent aux autres.

Ceux-ci ressemblent à la terre sur la surface de laquelle l’eau stagne, qui permet aux gens d’en profiter.

Un autre hadith fait allusion à ce genre de personne : « Qu’Allah resplendisse de beauté un homme qui écoute ma parole puis la transmet tel qu’il l’a entendue » (20)

D’autres personnes écoutent (les cours) de savoir, mais ne les apprennent pas, ne les mettent pas en pratique et ne les transmettent pas non plus.

Elles sont comme une terre marécageuse ou imperméable qui pollue l’eau ou ne l’accepte pas du tout.

Le Prophète صلى الله عليه و سلم a rassemblé dans cet exemple les deux premières parties, qui sont de bonne nature, parce qu’on peut en tirer avantage.

Et il a évoqué la troisième seule, qui est de mauvaise qualité, parce qu’on ne peut en tirer profit » (21)

 

Notes :

Pour les références complètes : voir directement dans le livre : recommandations salafie 1

(1) Rapporté par Et-Tabarâni dans El-Mou’djam El-Kabîr (2/I65 , I67), …., ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans Sahîh Et-Targhîb Wat-Tarhîb (2/289) (hadith 2328).

(2) Voir : El-Mouwâfaqât d’Ech-Châtibi (I/75).

(3) Voir : El-Madjmoû ‘a El-‘Ilmiyya de Bakr (p.182)

(4) Rapporté par Et-Tirmidhi, chapitre de « la description de la résurrection » (4/642), d’après Anas Ibn Mâlik (رضى الله عنه) et par Ibn Mâdjah, …. Ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans Es-Silsila Es-Sahîha (2/670), (hadith 949, 950).

(5) voir : Sounane Ed-Dârimi (1/82)

(6) ….,  Ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans Sahîh Et-Targhîb wat-Tarhîb (1/153), (hadith 105)

(7) …, ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans Sahîh Et-Targhîb wat-Tarhîb (1/153), (hadith 106)

(8) Voir : note 1, page 185

(9) voir : sounane Ed-Dârimi (1/80)

(10) Rapporté par Mouslim

(11) … ce hadith est jugé faible par El-Albâni dans El-Djâmi’ Es-Saghîr wa Ziyâdâtih (5/155, hadith 5375)

(12) Rapporté par Mouslim

(13) voir : El-Fatâwa El-Koubra d’Ibn Taymiya (6/272)

(14) Rapporté par Ed-Dârimi dans Es-Sounane (1/81)

(15) ibid. Même partie (p.82)

(16) ibid.

(17) rapporté par Ed-Dârimi dans Es-Sounane (1/101)

(18) Rapporté par ‘Abd Er-Razzâq dans El-Moussannaf (10/239), concernant « le savoir » (hadith 20642)

(19) Rapporté par El-Boukhâri, chapitre du « Savoir » (1/175)

(20) …, ce hadith est jugé authentique par El-Albâni dans Sahîh Sounane Abi Dâwoûd, (haidth 3660) et dans Sahîh Et-Targhîb (hadith 90)

(21) voir : Fat’h El-Bâri d’ibn Hadjar (1/177)

 

Collection des Séries de Recommandations Salafies I - 249 - 262 - Edition La Certitude

copié de rappel01.fr

Cheikh Abou Abdil-Mou'az Mouhammad 'Ali Farkouss



08/11/2012

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